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Les conditions climatiques particulièrement sévères de l’été 2003, ont transformé la végétation, notamment dans les zones les plus arides, en véritable poudrière. Les réserves en eau du sol (toujours faibles en sol siliceux) n’ont jamais été aussi basses. L’amélioration de l’évaluation du risque de feux de forêt passe aussi, sans aucun doute, par une meilleure prévision de l’état de la végétation basse et arborée.
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