Les sapins de Parrouvier

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Résumé

L’introduction de sapins dans les Bouches-du-Rhône est relativement rare et leur expansion par régénération naturelle l’est encore plus. C’est pourquoi la petite «sapinière» de Parrouvier a fait l’objet d’une étude à la fois historique, climatique, édaphique et dendrologique. Parmi les premiers semenciers, différentes espèces coexistent (Céphalonie, pinsapo, Numidie, pectiné, etc.). L’interfécondité bien connue de toutes ces «espèces» a donc donné des milliers de semis dont les plus âgés, qui ont maintenant 65 à 75 ans, sont à leur tour devenus des semenciers. Les grandes difficultés de reconnaissance taxonomique de tous ces sapins, dont les types «Céphalonie» et «pinsapo» paraissent dominants, amènent les auteurs à s’interroger sur la pertinence de la classification spécifique des sapins qui, à l’évidence, provient uniquement de barrières géographiques de moins en moins efficaces.

La revue Forêt Méditerranéenne - T. XIX, n°2, 1998

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