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Depuis la réintroduction du cerf et du chevreuil sur le territoire du Parc national des Cévennes, ses populations, et plus largement celles des ongulés sauvages, semblent s’accroître de façon constante, entraînant notamment depuis plusieurs années une forte augmentation des dégâts sur les peuplements forestiers, les exploitations agricoles et les jardins potagers des particuliers. Cependant, le manque de données précises et objectives ne permet pas aux acteurs du territoire de parvenir à un consensus sur l’état d’équilibre agro-sylvo-cynégétique actuel et souhaité. C’est face à ce constat que la création d’un Observatoire de l’équilibre agro-sylvo-cynégétique (OEASC) a été inscrite dans la Charte du Parc national des Cévennes, approuvée en 2013.
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